Là, c'est d'après moi.
Et d'après Grégoire :
Au temps des Gaulois, alors que l'église de Scientologie n'avait pas encore assis son monopole sur les croyances occultes, c'était aux druides que revenait le privilège d'amuser et (plus souvent d'effrayer) les honnêtes gens avec des idées ésotériques en tous genres, pleines d'éclairs foudroyants, de divinités vengeresses, et de bile de canard faisandé. Et le pire dans tout ça, c'est que certains druides, éblouis par la toute-puissance dont ils jouissaient auprès de leurs concitoyens à moustaches, se mettaient eux-mêmes à croire à leurs sortilèges.
Leurs confrères, plus raisonnables et conscients de l'inefficacité de leur litanie, essayaient de ramener les illuminés à la raison, mais leurs tentatives n'étaient que rarement couronnées de succès.
L'un d'entre eux, que nous appellerons P. pour ne pas le confondre avec un célèbre personnage de bande dessinée, dit un jour à un de ses confrères qui essayait de lui faire lire l'avenir dans les rillettes de sanglier :
« Eh toi, tu peux aussi essayer de me faire croire que tu arrives à manger les pissenlits par la racine? ».
Sans se démonter, son interlocuteur essaya de lui prouver qu'il en était capable, mais sa magie n'y faisant rien, il se mit alors à creuser et à brouter la terre à la recherche des racines des fleurs jaune d'or qui avaient commis l'erreur de pousser à proximité.
Il eût été préférable pour ce pauvre bougre qu'il potassât sagement au préalable les traités de médecine romaine, et particulièrement le chapitre : « rôle des poumons dans la survie de l'être humain en milieu souterrain ». Car il mit tant d'empressement et de rage aveugle dans son entreprise qu'il en fut étouffé sur le coup.
Cette anecdote fit pendant des années le tour de la Confrérie Fraternelle des Druides de Toute la terre (CFDT), ce qui permit à la fameuse réplique du druide P. de passer à la postérité.
Voili voilo pour aujourd'hui.
Et d'après Grégoire :
Au temps des Gaulois, alors que l'église de Scientologie n'avait pas encore assis son monopole sur les croyances occultes, c'était aux druides que revenait le privilège d'amuser et (plus souvent d'effrayer) les honnêtes gens avec des idées ésotériques en tous genres, pleines d'éclairs foudroyants, de divinités vengeresses, et de bile de canard faisandé. Et le pire dans tout ça, c'est que certains druides, éblouis par la toute-puissance dont ils jouissaient auprès de leurs concitoyens à moustaches, se mettaient eux-mêmes à croire à leurs sortilèges.
Leurs confrères, plus raisonnables et conscients de l'inefficacité de leur litanie, essayaient de ramener les illuminés à la raison, mais leurs tentatives n'étaient que rarement couronnées de succès.
L'un d'entre eux, que nous appellerons P. pour ne pas le confondre avec un célèbre personnage de bande dessinée, dit un jour à un de ses confrères qui essayait de lui faire lire l'avenir dans les rillettes de sanglier :
« Eh toi, tu peux aussi essayer de me faire croire que tu arrives à manger les pissenlits par la racine? ».
Sans se démonter, son interlocuteur essaya de lui prouver qu'il en était capable, mais sa magie n'y faisant rien, il se mit alors à creuser et à brouter la terre à la recherche des racines des fleurs jaune d'or qui avaient commis l'erreur de pousser à proximité.
Il eût été préférable pour ce pauvre bougre qu'il potassât sagement au préalable les traités de médecine romaine, et particulièrement le chapitre : « rôle des poumons dans la survie de l'être humain en milieu souterrain ». Car il mit tant d'empressement et de rage aveugle dans son entreprise qu'il en fut étouffé sur le coup.
Cette anecdote fit pendant des années le tour de la Confrérie Fraternelle des Druides de Toute la terre (CFDT), ce qui permit à la fameuse réplique du druide P. de passer à la postérité.
Voili voilo pour aujourd'hui.
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